Parce que mes nuits sont belles
Il y a quelques jours, je discutais avec un bo brun de la tristesse des nuits parisiens, du fait que les soirées en dehors de Paris nous donnent l'impression d'être dans Queer as Folk, qu'ils y a trop de princesses dans le marais.
Samedi soir, après un petit tour dans le marais en Vélib', dîner avec des amis dans le marais (jusque là rien d'exceptionnel) puis je rejoins le philippin (P.) rencontré la veille.
Rdv à l'"Ouvert", P. est trop craquant, a un sourire à tomber par terre. Il me touche quand il me parle, me dit que je suis "so cute" et autres jolies choses dans le genre. On s'enfuit rapidement vers le "Durr", c'est blindé, beaucoup de bogosses mais celui qui est avec moi est un pur bogosse AZN.
On se parle (je ne savais pas que je pouvais aussi facilement converser en anglais !), on se touche, on est proche, on s'embrasse maintes et maintes fois.
On descend dans le coin lounge, dans un petit recoin bien sombre, on s'enlace, on s'embrasse, on se caresse. Les mecs autour passent mais ne restent pas, tant mieux. On fait plus amble connaissance.
Un garçon passe sous la douche, plutôt que de regarder sur l'écran, P. qui n'a jamais vu "ça" en vrai veut monter. C'est encore plus bondé, on se fraie un chemin et on mate.
Le spectacle est super excitant, P. est de plus en plus chaud, il trouve que ma bite est presque aussi huge que celle du gogo-dancer (NDA : le mot important est "presque" !!!), il avait pu la "goutter" en bas dans le salon...
Un serveur nous dit que l'on gêne (ah bon ??), et que l'on serait mieux en bas (ah oui :-))) ?).
On redescend et je découvre qu'il existe une dark-room au DuRR... plusieurs couples sont en pleine action mais il y a encore de la place pour nous.
On fait beaucoup plus connaissance...
J'ai envie de prendre possession de son corps, mais "elle" est "too big for him" et c'est "too bad for me".
Il jouit, moi pas...
Trop de monde en bas, on remonte, toujours beaucoup de beautiful people.
Encore quelques verres, je suis ivre et pas simplement à cause de l'alcool.
Je préfère rentrer, je n'ai pas envie qu'il vienne chez moi, je n'ai pas envie d'aller chez lui.
Je rentre seul.
Sur le chemin, R. (le rebeu qui me harcèle) me propose de venir me rejoindre... j'accepte et on finit la nuit ensemble.
Too (many) sex last night
3 commentaires:
ça c'est de l'occupation intense du temps qui passe!après l'apéro y'a toujours un plat de résistance!;-)
Parce que j'ai forcement l'impression d'être une sale pute en faisant ça (c'est grâve docteur ?) en tout cas moins que lorsque j'avais 18/20 ans et que je partais en vacances à Biarritz (ah... le phare et la plage de l'océan... que de nombreux souvenirs)
Comment ? Comment avais je pu manquer ce post ? :-))
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